« Le Colibri » un joli nom pour désigner l’anulingus

Plus communément appelé « se faire bouffer le cul ou bouffer le cul »

Mais qu’est-ce que ça veut vraiment dire…

Se faire bouffer le cul ou bouffer un cul, c’est tout simplement se mettre à table les Loulou, ou inviter un gentil voyou à un festin hors du commun.

Bon appétit !

N’en déplaise aux puristes, c’est une pratique qui existe depuis la nuit des temps et qui n’a rien de nouveau. Si, si, je vous l’affirme !

Vous n’avez qu’à regarder nos chiens tout autour de nous. Et comme dirait l’un de mes amis, il faut toujours se renifler un peu le cul avant de se connaître vraiment histoire de voir à qui l’on a à faire. Demandez à Marianne James elle confirmera… (dans son dernier spectacle)

Bref ! vous l’aurez compris, se bouffer le cul n’est ici un terme qu’employé pour une pratique sexuelle. Et qui dit sexuel dit humidité donc langue. À nouveau cette cochonne qui revient à la charge et plus que jamais.

On appelle plus communément cette attraction sans précédent l’anulingus, certains le disent en anglais « le rimming », pour se donner un genre sans doute, les petits snobinards.

Dites-vous qu’il vous faudra de la réserve pour venir à bout de ces fions ne demandant qu’une caresse bien méritée. Car votre jolie langue posée sur cette culasse va peut-être peiner à sensibiliser votre mignon si c’est une première fois, s’il n’est pas sensible à ce genre de caresse ou s’il n’est tout simplement pas à l’aise avec ça. Il faut savoir que l’on n’est pas toutes et tous réceptifs à ce genre de stimulation pour la simple et bonne raison que notre olive n’est pas aussi spontanément érogène (même si c’est bien une zone érogène) que nos organes génitaux.

Mais attention. Bouffer un cul comme cela veut bien le dire, c’est creuser un peu plus profond le tiroir à caisse et y trouver de par ce fait, peut-être de mauvaises surprises, comme des maladies. L’hépatite A en tête de liste et bien d’autres. En effet, cette pratique n’est pas sans risque, donc attention, les Loulous. Je ne vais pas vous assommer ici avec ces maladies, mais il faut en être conscient avant de s’engager dans cette voie.

Pénétrer sa longue langue le plus profondément dans ce coupe-cigares, se voit être nommé poétiquement « le colibri ». Cette pratique fait allusion au colibri, un oiseau introduisant sa langue dans les fleurs afin d’en collecter le nectar. Je vous laisse bien sûr, libre à vous de croire ou de faire le lien entre cette pratique et cet oiseau coloré…

Maintenant soyons franc, si beaucoup d’entre nous aiment se faire léchouiller la rondelle, il n’en va pas tout à fait de même pour ceux qui aiment se languir sur ces échalotes tout en émois. Il faut dire qu’il vaut mieux être propre pour cette pratique et sentir la rose plutôt que les traces de freinage qu’on pourrait avoir dans la culotte, vous voyez ce que je veux dire… Mais si, voyons ! Ne faites pas les timorés !

Certains pratiquent un lavage avant chaque relation anale, mais des professionnels de la santé mettent en garde les personnes abusant de ces lavements qui peuvent également s’avérer blesser les parois de votre joli petit trou de vertu.

Le bouffage de cul pour celui qui se fait donc lécher, est très agréable, mais attention les Loulous, car celui qui va s’y coller à une idée bien précise en tête : lubrifier votre fion pour pouvoir y passer son turlututu le plus aisément possible, car la salive reste le lubrifiant le plus efficace et le plus agréable jamais inventé…

Ne l’oubliez pas et mettez bien les choses au clair avant ces acrobaties-là !

Bonne bourre les Loulous !

Pour mettre en pratique ce que vous venez de lire rien de mieux qu’un EXTRAIT INÉDIT de cette Novella on ne peut plus sexy et drôle :

Nous entamâmes un ballet avec nos baguettes se frottant sensuellement l’une contre l’autre jusqu’à nous faire défaillir, avant qu’il ne me retourne brusquement et m’invite à me mettre à genoux. Il plongea entre mes fesses et me donna la caresse la plus inattendue que je n’avais jamais eue. Que je n’aurais jamais imaginé avoir à cet âge. J’étais dans un rêve, me sembla-t-il. Lorsque sa langue força mon anus pour l’explorer, je crus tomber dans les pommes, tant c’était agréable. Je compris pourquoi il insista sur notre toilette juste avant.

Il commença à me lécher le fion me rendant très vite addicte. Il me détendit cette place des Fêtes en quelques coups de langue, me poussant toujours plus sur cette nappe au fur et à mesure que sa langue entrait en moi. Jusqu’à me faire plier et me coucher. Il me chevaucha prestement, fit claquer sa belle queue contre mes fesses :

— Quel beau p’tit cul tu as !

— Tu trouves ?

— Tu ne t’en rends pas compte, moustique, mais tu vas faire pleurer bien des garçons avec un cul pareil… conclut-il, en dirigeant de sa main son sexe vers mon orifice qui, je dois bien l’avouer, demandait son dû.

J’en fus le premier surpris. Il avait faim. Il me démangeait comme s’il fallait absolument que ce diable frappe contre cette petite porte et entre en moi, même si ça me faisait un peu peur, vu la grandeur de l’engin.

À découvrir

Laissez-vous emmener par Camille, un jeune homme qui n’est pas franchement précoce mais qui veut que sa première fois soit à la hauteur de ses attentes… 
Et si son péché mignon l’avait amené à rencontrer l’homme de sa vie ? Sa passion pour les macarons vont le faire choisir une enseigne plutôt qu’une autre… 

À découvrir en version papier, e-book ou gratuitement dans la bibliothèque :  

N’oubliez de commenter ça fait toujours plaisir…

Pour vivre ou revivre une magnifique romance dans une nature intacte, une histoire d’hommes au pays des ours, laissez-vous tenter par le premier roman de cette série qui on peut le dire, s’avère être un joli succès depuis sa parution…

https://www.amazon.fr/gp/product/B08NF9JLLK/ref=dbs_a_def_rwt_hsch_vapi_tkin_p1_i5

Publié par tomhuxleyauteur

Enfant, j'imaginais déjà des histoires pleines de personnages hauts en couleurs, que je racontais à tous ceux qui croisaient ma route. Depuis lors, j'ai fait évoluer mes récits, les rendant plus complexes, et les partageant ainsi avec un public plus large. En tant que narrateur, je tire profit de mon imagination et mon sens créatif pour raconter des histoires captivantes et divertissantes. C'est tout naturellement que je me suis porté vers l'érotisme et la sensualité. Sans tomber dans la vulgarité je préfère la poésie plutôt que d'être trop explicite. Même si de nombreuses scènes torrides vous feront à n'en pas douter, avoir des sueurs. Je décris les désirs sexuels comme des personnages à part entière et je les laisse évoluer au gré des situations.

2 commentaires sur «  « Le Colibri » un joli nom pour désigner l’anulingus »

  1. Un excellent article qui a le mérite de dire les choses clairement, sans tabou, avec un bel humour ! Voilà qui permet aussi d’éclairer la lanterne de beaucoup et par exemple d’une autrice curieuse. Merci

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    1. Merci mille fois Juliette pour ce com, ça fait plaisir de voir qu’il y en a qui lisent jusqu’au bout…. Je plaisante bien sûr mais ce n’est pas tout faux et tu me comprends… Je suis ravi que ce joli mot (j’ai eu la chance de pouvoir observer ce petit oiseau et je parle bien d’oiseau en pleine cueillette de fleur) t’a permis d’éclairer ta lanterne… Il y a plein d’autres sujets sur les garçons qui pourraient intéresser l’auteure que tu es…

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