L’importance de l’environnement dans un roman

Le Yukon comme décor pour ce dernier roman

Lorsqu’on se lance dans l’écriture d’un roman, on a des fois l’environnement qui nous vient automatiquement en tête, sans qu’on l’y ait invité. D’autres fois on part plutôt de l’histoire, des personnages, leur nationalité ou leurs origines ; un évènement fort, un décès, une naissance, une fête de diplôme ou un anniversaire foireux. Mais dans tous les cas, il y aura un décor qui devra servir si ce n’est autant qu’un personnage, au moins comme décor de fond, car nous allons y laisser évoluer nos héros, qu’il s’agisse de contrées sauvages ou d’une ville célèbre ou un peu moins connue, peu importe ; d’un avenir heureux ou dystopique. Le fait est qu’il va y avoir des références « vraies ou inventées » à cet environnement que l’on aura choisi pour cette histoire.

Pour Yukon, le titre s’étant imposé en même temps que l’histoire, il va de soi que la nature y joue une importance capitale. C’est un personnage à part entière, tout comme Noirmoutier pour « Au Parfum du large » et les calanques de Marseille pour « La plage des Satyres ».

Photo de Jaime Reimer sur Pexels.com

Sans doute l’aurez-vous remarqué pour celles et ceux qui commencent à mieux me connaître, j’aime faire voyager les lectrices et les lecteurs. Que ce soit en Europe ou ailleurs. Je trouve qu’un livre se veut avoir aussi et entre autre, cette possibilité extraordinaire, un peu comme une mission capable d’emporter les gens dans un voire, des mondes différents. De les immerger dans des décors qu’ils ne connaissent pas forcément ou qu’ils ont eu la chance de visiter un peu.

J’ai eu l’opportunité jusqu’ici de bcp voyager, presque un mode de vie, peut-être est-ce donc naturel pour moi de tenir autant à ce point lorsque j’écris un livre ou une nouvelle et de m’y tenir avec sérieux. D’en faire un élément capital au même titre qu’un personnage principal. Précisant des numéros de routes correspondants qu’on peut aller chercher sur une mappemonde ou sur google.

Et cela n’empêche pas de traiter de sujets de société importants, de s’attarder sur la psychologie des personnages et de décrire des scènes sensuelles. À ce propos, si vous voyez passer ici et là une photo de moi nu comme un ver dans un décor naturel lors d’un voyage, n’en soyez pas surpris, je trouve, il est vrai, et j’éprouve de temps à autre le besoin de ressentir le souffle d’un vent chaud sur ma peau ou le frais de l’eau d’un océan… Il n’y a pas mieux comme symbiose et pour communier avec le monde. Il arrive que des lieux soient si marquants pour des personnages ou moi-même, que leur description peut s’avérer envoûtante et mystérieuse. Un plus à mon humble avis, qu’aucun auteur ne devrait négliger…

Découvrez ce roman qui semble beaucoup plaire aux lectrices et lecteurs :

Publié par tomhuxleyauteur

Enfant, j'imaginais déjà des histoires pleines de personnages hauts en couleurs, que je racontais à tous ceux qui croisaient ma route. Depuis lors, j'ai fait évoluer mes récits, les rendant plus complexes, et les partageant ainsi avec un public plus large. En tant que narrateur, je tire profit de mon imagination et mon sens créatif pour raconter des histoires captivantes et divertissantes. C'est tout naturellement que je me suis porté vers l'érotisme et la sensualité. Sans tomber dans la vulgarité je préfère la poésie plutôt que d'être trop explicite. Même si de nombreuses scènes torrides vous feront à n'en pas douter, avoir des sueurs. Je décris les désirs sexuels comme des personnages à part entière et je les laisse évoluer au gré des situations.

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