Je ne sais pas pour vous mais pour moi, je me suis retrouvé tout naturellement avec des amis principalement non-fumeurs. Ne l’ayant jamais été moi-même et étant très sportif, c’est vrai que je n’ai jamais été vraiment entouré de fumeurs, mais tout de même…j’en avais quelques uns et jamais je n’ai montré le moindre jugement lorsqu’ils allaient fumer sur le bord de la fenêtre. Même s’ils savaient que je n’aimais pas ça, les purs et durs n’ont pas arrêté de fumer, mais certains ont disparus de mes contacts sans qu’on ne le veuille vraiment. Est-ce un signe des centres d’intérêts qui diffèrent du tout au tout selon qu’on soit fumeur ou non fumeur ?
Je ne saurais trop y répondre. Mais ce que je peux dire, c’est que je regrette mon fumeur de pipe, qui malgré le smog ambiant dans lequel il m’impliquait malgré moi, il savait m’envoûter par le parfum de sa pipe. Que ne m’a-t-il pas fait ce voyou, et même si lorsque je l’embrassais ça me brûlait la langue, je ne me suis jamais plein autrement, sa langue imbibée de parfums orientaux me faisant vite oublié ce que j’aurais pu estimer comme un frein à quelques relations…
Et vous ? Une ségrégation s’est-elle faites entre les fumeurs et non-fumeurs ? Pensez-vous que nous avons les mêmes centre d’intérêt ?
Tom Huxley Auteur 