Je termine la correction de cette nouvelle qui vous fera sourire je l’espère…mais l’humour est si personnel… Et à ce que je vois, bcp et je ne parle pas que du genre MM mais de tous les genres de littérature en général ont tellement de peine à s’ouvrir à d’autres genres, à apprécier des mélanges, des mixtes de genres. C’est dommage à mon avis. C’est un peu comme pour le cinéma, il m’arrive d’aller voir un film sans rien savoir ou presque de l’histoire, et c’est agréable de se laisser surprendre, même si l’on a pas aimé la trame, l’histoire, le jeu, on s’est laissé quelque part, emmener les yeux fermés vers des contrées inconnues. En tous les cas pour moi, le rôle d’un auteur est aussi de s’essayer à plein de choses. Et si en tant qu’auteur on n’a pas cette ouverture d’esprit, je trouve que quelque part, il manquera quelque chose pour être pleinement épanoui. Je ne dis pas qu’on doit s’adonner à tous les genres, mais au moins y être ouvert. S’y essayer même si on garde ce travail au fond d’un tiroir. C’est un peu comme dans la vie finalement. Certaines et certains sont si obtus qu’elles/ils passent à côté de bien des merveilles, des petites pépites, des moments et situations qui peuvent s’avérer nous surprendre, certes, mais également nous donner un petit morceau de nous-même que l’on ne soupçonnait pas forcément….Je vous présente la couv. du samedi. J’ai le plaisir de vous parler de mon Basile, le moche, et Norbert le beau. Enfin, celui qui se dit beau et trouve moche Basile. Car avant tout, cette nouvelle est un constat cinglant sur l’apparence qui peut être trompeuse…Tel est pris qui croyait prendre, pourrait être l’adage et le moteur de ce texte tout en rondeur, sueur et tromperies heureuses…Rdz vous bientôt pour cette tranche de vie hors norme et plutôt décomplexée… Très bon week-end à tous…
