Il est par moment difficile de continuer un texte. Plus affûté, plus personnel surtout, plus intime, il peut nous faire perdre pied le temps d’un souvenir, tant se remémorer certains souvenirs, certaines émotions vécues, peut être ardu à certains moment.
C’est ce qui est en train de m’arriver avec ce bouleversant roman « Vole papillon, Vole! » que je suis en train d’écrire depuis…bien longtemps, mais qui me rappelle combien le sujet se veut difficile à retranscrire. On ne veut pas trahir mais il faut dire ; on ne veut pas trop se dévoiler mais on y gagne en crédibilité ; on voudrait que ce soit le plus beau possible alors qu’il y eu tant d’impossible pour notre « héros » que l’on a connu et pour qui on aurait tant voulu que les choses se passent autrement.

Comme j’ai bcp de peine à exprimer ce ressenti (mais je rassure ceux qui semblaient intéressés par ce roman, il se fera, je me dois de l’achever), le mieux est de trouver une image qui pourrait tout dire sans mot. Qui pourrait retranscrire ce passage douloureux me faisant et m’ayant si souvent fait m’arrêter d’écrire ce texte.

Et puisque vous connaissez maintenant avec mon post d’hier cet artiste formidable que j’adore et me faisant éprouver tant d’émotion par ses peintures, qui de mieux que lui pour imager ce que je suis tente de vous expliquer.
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Thank’s Mike…