Piqûre de rappel pour ne pas oublier que nos libertés sont fragiles (article d’Écueil Éditions)

ARTICLE D’ÉCUEIL ÉDITIONS À DÉCOUVRIR :

Il est plus important que jamais de montrer, par tous les moyens possibles, que la différence est une richesse, qu’elle est le fondement même d’un monde tolérant, vivant, vibrant de diversité et de talents. Un monde où les cultures s’entrelacent, où les arts s’entremêlent, où chacun a le droit d’être entendu et reconnu. L’homogénéité est un leurre, une illusion qui ne mène qu’à l’appauvrissement des idées et des âmes. Ce qui fait la beauté du monde, c’est justement ce qui le rend multiple.

Après plus de cinq ans d’existence, notre petite association poursuit son engagement, et continuera à le faire. À travers nos textes, nous parlons de toutes les différences, nous les célébrons, nous les défendons, et nous les écrivons avec la conviction qu’elles ont toutes leur place dans le paysage littéraire. Nous voulons divertir, oui, mais aussi éveiller, éclairer, bousculer. Écrire pour les minorités est plus qu’un engagement, c’est une nécessité. Une arme contre l’ignorance, contre le conservatisme figé, contre ceux qui prônent de belles valeurs en façade, tout en trahissant les leurs par leurs actes, leurs mensonges et leurs tromperies.

Nous ne cessons de le répéter : nos histoires comptent autant que toutes les autres. Ces parcours de vie, ces destins flamboyants ou plus modestes, ces voix longtemps étouffées ont autant droit d’être lues, partagées et transmises que celles que l’on place trop souvent sur un piédestal. Chaque récit est une pierre apportée à l’édifice d’une société plus juste, plus inclusive, plus humaine.

Mais méfions-nous de cette époque troublée. N’oublions pas que ce qui est acquis est toujours menacé. Que les droits gagnés de haute lutte peuvent être repris en un claquement de doigts, souvent bien plus vite qu’ils n’ont été obtenus. L’Histoire est là pour nous le rappeler : lors des basculements politiques, les minorités sont toujours les premières à être attaquées. Et si certains en doutent encore, qu’ils se souviennent… avant même les juifs, les homosexuels furent les premiers à être déportés et torturés.

Aujourd’hui encore, sous nos yeux, les signes du recul sont visibles, et il serait naïf de croire que les choses vont s’arranger par elles-mêmes. Regardez Trump : son tout premier décret, le tout premier acte de son mandat, fut dirigé contre une minorité. Parce que frapper les plus vulnérables, ceux que l’on marginalise déjà, est toujours la manière la plus facile de renforcer son pouvoir.

Et que ceux qui se croient à l’abri, ceux qui rient ou qui pensent que cela ne les concerne pas, prennent garde. L’Histoire a prouvé encore et encore que l’oppression, une fois enclenchée, ne s’arrête jamais à la première cible. Aujourd’hui, ce sont certaines minorités qui sont attaquées. Demain, ce seront d’autres. Et que dire des femmes, déjà en train de perdre des droits fondamentaux dans des pays dits développés, sous prétexte de tradition ou de morale ?

Tout cela pour réaffirmer notre position. Nous ne nous sommes jamais définis comme des militants. Mais notre manière de lutter, d’exister, de résister, c’est d’écrire. Notre plume est notre voix, et tant qu’il nous sera possible de l’utiliser, nous continuerons à nous faire entendre.

Nous ne sommes pas seulement spectateurs du monde qui se façonne autour de nous. Nous en sommes tous responsables. Vous en êtes tous responsables.

Alors, quel monde voulez-vous demain ?

Lorsque des États, des dirigeants, commencent à s’attaquer à l’art et à la liberté d’expression, cela n’annonce jamais rien de bon. Jamais.

L’Histoire nous l’a appris, encore et encore : quand un pouvoir commence à censurer, à contrôler les mots, les images, les œuvres, c’est qu’il redoute ce qu’elles portent en elles. L’art est un miroir tendu au monde, une révolte silencieuse, un cri qui ne peut être bâillonné. Il questionne, dérange, éclaire, dévoile ce que l’on voudrait cacher.

Chaque époque marquée par l’oppression, l’autoritarisme, la dictature a d’abord commencé par museler les penseurs, les poètes, les écrivains, les peintres, les cinéastes, les musiciens. Par peur. Parce que l’art est une arme plus puissante que les discours officiels, parce qu’une idée, une émotion, une image peuvent traverser le temps et renverser les certitudes.

Quand on empêche une œuvre d’exister, ce n’est pas seulement un tableau que l’on cache, un livre que l’on brûle, une chanson que l’on interdit. C’est une part de vérité que l’on tente d’éteindre, une réflexion que l’on veut étouffer, un esprit que l’on cherche à formater.

Alors méfions-nous. Méfions-nous de ces temps où l’on commence à dicter ce qui peut être dit ou non, écrit ou non, joué ou non. Car lorsqu’on s’attaque à l’art, c’est que l’on prépare déjà le terrain pour s’attaquer aux consciences.

Le Poison de la Délation et la Fragilité des Libertés

Devons-nous vraiment vous rappeler cette période troublée du Covid, où tant de gens, pris dans la peur et l’aveuglement, se sont transformés en détecteurs de fautes, en guetteurs de transgressions, en délateurs enthousiastes ? Des dénonciations absurdes, souvent mesquines, parfois cruelles, pour une simple sortie prolongée, un pas de travers, un instant de liberté dans un monde devenu cage. Si pour des faits aussi bénins, certains n’ont pas hésité à trahir leurs voisins, leurs amis, parfois même leur famille, dites-vous bien que le même mécanisme se mettrait en place, sans scrupule, contre ceux qui sont différents, si un jour une chasse aux sorcières devait réellement s’intensifier.

Et d’ailleurs, n’a-t-elle pas déjà commencé ?

Regardez autour de vous. Regardez ce climat délétère qui s’installe insidieusement, cette suspicion permanente, ces crispations autour de la liberté d’expression. Regardez comment, sur les réseaux sociaux, certains s’érigent en juges suprêmes, dictant qui a le droit de parler et qui doit se taire, qui a le droit d’écrire sur telle ou telle minorité, tel ou tel sujet, selon son sexe, son identité, son histoire. Comme si les mots devaient être filtrés selon celui qui les prononce. Comme si la liberté d’écrire était un privilège réservé à certains, et non un droit fondamental universel.

Et quand ces idées absurdes prennent racine, quand elles deviennent dogmes, que se passe-t-il ? On assiste à des meutes, à des escouades de guêpes fondant sur un auteur pour un mot, une phrase, une idée jugée déplacée. Des livres attaqués non pour leur contenu, mais pour la personne qui les a écrits. Des carrières brisées, des voix réduites au silence, non par manque de talent, mais par peur de la réprobation.

Comment peut-on espérer une unité, une cohésion, une force collective, si nous nous acharnons nous-mêmes à nous déchirer de l’intérieur ? Comment défendre nos droits si nous nous tirons dessus avant même d’être attaqués ? Parce que la vérité est là : si un jour nos droits fondent comme neige au soleil, si demain nous devons nous battre pour préserver ce qui nous reste de liberté, serons-nous capables de nous unir ? Ou serons-nous déjà trop occupés à nous désavouer entre nous ?

Diviser pour mieux régner, ça vous parle ? C’est la plus vieille stratégie du monde, et pourtant, elle fonctionne toujours. Elle fonctionne parce que nous nous laissons piéger, parce que nous nous méfions plus de ceux qui devraient être nos alliés que de ceux qui travaillent à nous réduire au silence.

Alors réfléchissez avant d’agir. Avant de pointer du doigt, avant de juger trop vite, avant de vous prêter au jeu de l’exclusion. Chaque acte en entraîne un autre. Chaque dénonciation injuste ouvre la porte à d’autres plus dangereuses. Ce qui semble un simple débat aujourd’hui peut devenir une arme demain.

Et quand viendra le moment de défendre nos libertés, de défendre nos mots, ne soyons pas déjà brisés de l’intérieur. Soyons prêts, unis, conscients que c’est ensemble que nous tiendrons bon. 

Commencez déjà par réagir à cet article et le partager serait un acte fort… mais nous verrons bien et ne nous faisons aucune illusion.

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Toujours en train de vous séduire…:

RÉSUMÉ :

Dylan et Kate, jeunes étudiants, vivent simplement, partageant un petit appartement et une relation remplie de tendresse et de complicité. Mais lorsque Will entre dans leur vie, tout bascule. Pour Dylan, l’attirance immédiate qu’il ressent pour cet homme remet en question ses certitudes, sa sexualité, et l’avenir qu’il s’imaginait. Ce trouble, à la fois déstabilisant et excitant, devient rapidement impossible à ignorer.

Will et Dylan, irrémédiablement attirés l’un par l’autre malgré leur différence d’âge, vont devoir composer avec des paramètres qu’ils n’avaient jamais envisagés. Face à cet amour naissant, Kate, forte et résiliente, refuse de céder aux conventions. Ensemble, ils vont casser les codes, bousculer les schémas traditionnels et inventer leur propre façon d’aimer, malgré les regards perplexes de Max, leur meilleur ami, et les obstacles qui se dressent sur leur chemin.

Entre passions dévorantes, amitiés indéfectibles et réinvention de soi, cette histoire bouleversante explore les limites de l’amour et la liberté d’être soi-même.

Prologue :

La lumière orangée du soleil couchant traverse les rideaux légèrement tirés, enveloppant la pièce d’une chaleur douce et apaisante. Le parquet craque sous les pas de Max, qui fait les cent pas devant le canapé. Ses mains jouent nerveusement avec une capsule de bière, son regard plongé dans ses pensées. Dylan est affalé sur le canapé, une jambe repliée sous lui, un sourire paresseux aux lèvres. À quelques pas, Kate s’affaire dans la cuisine ouverte, sifflotant un air familier en rangeant des verres dans un placard.

— Tu vas finir par creuser un trou dans le sol, Max, lâche Dylan sans lever les yeux de son téléphone.

— Tu sais ce que ça s’appelle, ça ? réplique Max en s’arrêtant net pour pointer un doigt accusateur. Ça s’appelle du stress existentiel. Et toi, tu devrais peut-être t’y intéresser, au lieu de rester planté là à… swiper, ou je sais pas quoi.

Dylan rit doucement et lève enfin les yeux.

— Je suis en train de chercher des idées pour notre projet, gros malin. Toi, par contre, t’as l’air de te demander si l’univers va s’effondrer.

Kate, qui a tout entendu, revient dans le salon avec trois bières fraîches.

— L’univers peut attendre, lance-t-elle en déposant les bouteilles sur la table basse. Pour l’instant, on est là, et c’est tout ce qui compte.

Max s’effondre dans le fauteuil en face de Dylan, prenant une bière sans enthousiasme.

— Ouais, mais c’est ça qui m’inquiète. On est là… mais pour combien de temps ?

Kate arque un sourcil, amusée.

— Tu veux dire quoi, là ? On va pas s’évaporer demain matin, t’inquiète pas.

Max soupire et passe une main sur son visage.

— C’est juste… Vous y pensez jamais, vous, à ce qui nous attend ? Où on sera dans cinq ans, dix ans ?

Dylan hausse les épaules, jouant avec sa bouteille sans l’ouvrir.

— Ça sert à rien de trop y penser. L’avenir, il vient quoi qu’il arrive.

— Tu dis ça parce que t’as jamais peur, Dylan, réplique Max en plissant les yeux. Ça doit venir du fait que t’as vécu à poil durant toute ton enfance dans ton Yukon sauvage… 

— Arrête avec ça, je n’étais pas à poil, enfoiré !

— Moi, je dis juste que je me demande si on va rester aussi soudés avec le temps. Si on va réussir à faire ce qu’on veut. Si…

Il s’interrompt, son regard fixant un point invisible.

— Si quoi ? demande Kate en se laissant tomber à côté de Dylan, une bière à la main.

Max hésite, puis secoue la tête avec un sourire gêné.

— Si on sera encore comme ça, ensemble, quoi.

Dylan et Kate échangent un regard complice.

— Écoute, Max, dit-elle doucement. On n’a pas de boule de cristal, mais ce que je sais, c’est qu’on est bien ici, maintenant. Et tant qu’on continue à se dire les choses, à se serrer les coudes, y a aucune raison que ça change.

Dylan lève sa bouteille avec un sourire.

— À nous, alors. Et à l’avenir, quel qu’il soit.

Max sourit malgré lui et lève sa bouteille pour trinquer. Les trois amis, unis par des liens qu’ils ne comprennent pas toujours eux-mêmes, laissent retomber le silence. Chacun, perdu dans ses pensées, se demande ce que l’avenir leur réserve, sans savoir que des choix cruciaux et des tournants inattendus les attendent au coin du chemin.Le froid de décembre enveloppe la ville de son manteau hivernal, les rues sont parées de lumières étincelantes et de guirlandes chatoyantes. Mais dans l’appartement de Mika, le décor festif peine à dissiper l’aura de solitude qui y règne. Ce soir-là, le 24 décembre, Mika se tient devant son miroir, ajustant avec une précision mécanique les contours d’une tenue choisie pour ne pas trop plaire. 

En attendant la sortie très prochainement de Yukon – Will, tout ce qu’on ne sait pas de toi, découvrez ou redécouvrez cette incroyable histoire qui va, comme l’ont mentionné plusieurs lectrices, bien au-delà d’une histoire de Noël…

Résumé :

Ayant saboté un premier rendez-vous avec Néo, terrifié par les sentiments qu’il éprouve pour lui et réalisant qu’il pourrait être l’homme de sa vie, Mika décide de se rattraper le soir du réveillon de Noël en l’invitant au restaurant. Malgré ses bonnes intentions, ce dîner du 24 décembre ne va pas déroger à la règle.
Le lendemain matin, sa tête semblant plongée dans un épais brouillard, il se retrouve pris dans une boucle temporelle, condamné à revivre encore et encore cette même journée, comme si le destin voulait lui faire comprendre que son cœur appartient déjà à Néo. Cette idée l’angoisse encore plus. Chaque jour, il va redoubler d’imagination pour échapper à cet amour naissant, cherchant à fuir ses sentiments. Pourtant, à force de réinventer ces moments et de mieux se connaître, Mika va commencer à s’attacher à Néo et à comprendre qu’il va devoir affronter ses peurs.
Parviendra-t-il à saisir cette chance d’être heureux ou continuera-t-il à fuir, condamné à perpétuer la boucle ? Même le fantôme qui hante son appartement, lui aussi prisonnier de cette spirale infernale, ne peut répondre à cette question… à moins que son passé soit la clé de leur libération à tous les deux…

Et puisque vous êtes là, profitez de découvrir cette parution qui fait des émules…

Voici venu le temps de découvrir cette parution dont je me réjouis du succès et de l’accueil que vous lui faites… Que d’aventures pour ce livre, que de rencontres aussi… car vous imaginez bien que même si la tête d’un auteur est un peu barrée et pleine d’imagination, nous allons souvent chercher l’inspiration ailleurs… dans le monde réel et spécialement les rencontres… Je ne vous en dit pas plus. Mais vous pouvez aisément réaliser que ces deux protagonistes ont quelque chose à voir avec des rencontres que j’ai vécues… Et quelles rencontres…

Pour celles et ceux ici qui ne sauraient pas de quoi l’on parle, je vais faire un petit récapitulatif :

Tout d’abord:

Qui sont donc ces deux lurons ?

Vous allez les découvrir au fil des pages de ce roman de plus de 450 pages. Mais disons que Ryan est le rouquin un peu caractériel et sensible, tandis que Connor est le noiraud un peu ours et maladroit… Deux opposés, tant par leur allure que par leur caractère, mais liés par un coup du destin bien plus qu’ils ne l’imaginent…

Bienvenue dans le monde de Lune de Fioul où une histoire bouleversante, drôle et très dépaysante vous attend… La première romance MM éco-friendly totalement recyclable…

LUNE DE FIOUL

Résumé :

Résumé 

Tout oppose Connor et Ryan. Leurs aïeux républicains pour l’un, loyalistes pour l’autre. Ryan, biologiste-acousticien sous-marin œuvrant pour Greenpeace et mesurant les bruits pour mieux comprendre l’impact humain sur les cétacés ; Connor, ingénieur et géophysicien envoyant des vibrations pour trouver des filons pétroliers sous-marins.

Connor, bâti comme un catcheur ; Ryan, assumant une allure presque androgyne… Il est d’ailleurs appelé l’elfe rouge par ses opposants pour cette raison.

Lorsqu’ils embarquent sur le bateau sismique offshore « Nebulla », afin d’évaluer de potentielles nuisances sur les cétacés dues aux vibrations, l’antagonisme qui les oppose va s’affirmer. Connor devant confirmer l’impact sur la faune marine s’il y en a un rend la collaboration difficile, mais pas que lui… Ça ne va pas être simple de s’entendre et de se comprendre. D’autant qu’un événement tragique du passé semble les lier.

Devant partager la même cabine pour le pire comme pour le meilleur, chacun devra y mettre du sien pour que tout se passe au mieux. Cupidon pourrait bien les frapper en plein cœur et les emmener dans une Lune de fioul improbable.

EXTRAIT INEDIT :

Connor admire les falaises qu’ils longent tandis que les rayons de soleil percent des nuages tenaces. Cela donne une luminosité extraordinaire. Les macareux s’en donnent à cœur joie et volent au-dessus d’eux. Il les observe un moment, avant de sourire. Une main se pose sur son épaule et la masse vigoureusement avant de se retirer.

— Ça te rappelle des souvenirs ? demande Ryan en se tournant vers lui, le dos appuyé contre la barrière du bateau.

Son regard est transpercé par la lumière et trouble Connor qui se frotte nerveusement le menton.

— Ouais ! Un peu. Je…

— Tu n’as pas à t’excuser, Connor ! Même si tu as été un vrai trou d’uc! l’admoneste l’elfe en souriant.

Il lui tend la main en le fixant intensément.

— On fait la paix ? J’suis désolé pour tout à l’heure. J’y suis allé un peu fort ! Je comprends que pour toi ce ne soit que des points sur un écran.

— Mouais… c’est vrai que j’ai pas fait d’effort.

— On est quitte ?

— On est quitte ! sourit Connor, en se détendant.

Il faut dire que depuis qu’il est monté sur ce bateau, Ryan l’a tendu comme personne n’a su le faire au cours de sa vie. Ce dernier se retourne d’un geste élégant et s’appuie sur la balustrade pour observer les Puffins pour qui il s’était battu comme un acharné quelques années auparavant. Il adore ces oiseaux. Il sait qu’ils sont menacés et qu’il faut en prendre soin, aussi, lorsqu’il eut affaire à la compagnie de pétrole pour qui Connor travaille et qu’ils se confrontèrent, ce ne fut pas très convivial. Ce fut même une boucherie, tant ça vola bas. Il s’en souvient comme si c’était hier.

Toujours autant populaire cette série qui séduit encore autant de lecteurices et nous en sommes très fiers… YUKON 1 & 2 & 3 Du reste, un chiffre impressionnant vient de tomber, plus de 10000 lecteurices rien que pour le 1er tome et je piaffe…

Jérémie, sportif de haut niveau évoluant en NHL arrive à Montréal, où il loge chez son frère Max et sa femme Brigitte. Après des bagarres à l’entraînement dues notamment à cause de son orientation sexuelle qu’il veut vivre au grand jour, il est suspendu durant des mois par la fédération.

Dylan le meilleur ami de son frère et associé dans leur cabinet de designer est d’accord pour le prendre avec lui dans le Yukon, où il a un magnifique chalet et passe toutes ses vacances là-bas.
Va naître des sentiments entre les deux hommes et un destin commun, Dylan étant père de deux adorables garçons mais cachant un terrible secret. 

S’Wonderful, une série palpitante qui va vous faire voyager et aimer la vie malgré les aléas. Une romance MM de 5 tomes qui va vous permettre de découvrir le parcours de Romain, un homme marqué par les épreuves mais se rappelant sans cesse que l’existence d’un homme est une poussière d’étoile, et qu’il vaut mieux n’en retenir que le merveilleux…     

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Publié par tomhuxleyauteur

Enfant, j'imaginais déjà des histoires pleines de personnages hauts en couleurs, que je racontais à tous ceux qui croisaient ma route. Depuis lors, j'ai fait évoluer mes récits, les rendant plus complexes, et les partageant ainsi avec un public plus large. En tant que narrateur, je tire profit de mon imagination et mon sens créatif pour raconter des histoires captivantes et divertissantes. C'est tout naturellement que je me suis porté vers l'érotisme et la sensualité. Sans tomber dans la vulgarité je préfère la poésie plutôt que d'être trop explicite. Même si de nombreuses scènes torrides vous feront à n'en pas douter, avoir des sueurs. Je décris les désirs sexuels comme des personnages à part entière et je les laisse évoluer au gré des situations.

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