Il est temps pour moi de vous faire découvrir un extrait inédit de ce grand final…. Un 5ème tome tout en émotion qui va en surprendre plus d’un et qui nous a beaucoup touché Neil et moi-même…
Une fin, c’est toujours délicat… Faut-il aller dans ce sens plutôt que celui-ci ? Nos lecteurices ne risquent-ils pas d’être trop déçus si nous allons dans cette direction plutôt que celle-là ?
Lorsqu’on est seul face à cette fin inéluctable qui s’annonce, c’est déjà compliqué et très excitant en même temps, mais à 4 mains, là, on bat des sommets… Les discussions ont bon train, les engueulades sont plus fréquentes, le boss devant de temps à autre nous départager… Bref ! Comme vous le verrez, nous avons semble-t-il trouver un terrain d’entente et sommes en plein accord avec cette fin, en espérant qu’elle vous séduira…. Suis tellement excité de bientôt pouvoir vos faire découvrir la suite de cette série.
En attendant, voici déjà le résumé et l’extrait complet de ce petit montage que Didier nous a concocté, en espérant que cela vous plaira….
RÉSUMÉ :
Ayant rejoint Farooq à Lahore, pour l’épauler et lui prouver à quel point son amour est sincère, Romain en profite pour visiter cette région du monde qu’il ne connaissait pas. Il sympathise avec la grande sœur de Farooq ayant étudié en Angleterre et de qui leur avenir pourrait bien dépendre. L’espoir qu’elle suscite est exacerbé par des révélations que Romain n’aurait jamais imaginées possibles dans un tel pays…
Tandis que Lucy s’emploie à trouver d’autres mécènes et que leur projet aborigène devient de plus en plus concret, Romain fait le tri dans ses souvenirs. Il se sent prêt à régler sa situation avec Paul. Ce dernier ne répondant toujours pas à ses mails, Romain ne se décourage pas et continue à lui écrire, certain que son mari lui cache quelque chose…
En rentrant en Australie, il fait une escale en Thaïlande pour voir ses amis Chumpon et Phoenyx. Le couple va s’employer à gommer ses derniers doutes et l’encourager à continuer de croire en son rêve de vivre avec cet amant ayant chamboulé sa vie… À croire en l’amour.
EXTRAIT :
Je reçu un coup de poing dans la tronche pour me remettre à niveau, ce qui me déséquilibra un instant, avant que je ne me remette droit sur mes deux guiboles.
— Et comme ça, c’est mieux ? me demanda-t-il d’un ton plein de défi.
Je fonçai sur lui et m’accrochai à son corps en frappant comme un malade. Je faisais tout et n’importe quoi. Si j’avais bien envie de quelque chose à cet instant précis, ce n’était pas de me battre. Je n’arrêtais pas de plonger sur lui et de me coller contre son corps pour le coincer et relativiser les coups qu’il ne se privait pas de donner, ce qui l’agaça très vite.
Je continuai ma danse de sauterelle avant d’essuyer un coup de genou dans le plexus me coupant le souffle. Je vis tourner le ring autour de nous, Chumpon leva un poing de victoire, tandis que son bellâtre de mari et ses quarante-deux dents de super prédateur nous reluquait sans vergogne et n’en loupait pas une. Incorrigible, ce garçon.
— Tu te ramollis, Daddy ! me lança Chumpon, pour me provoquer plus qu’il ne le faisait déjà tout en faisant des petits bonds de danseuse devant moi. Ça ne te vaut rien d’être amoureux, t’es vulnérable ! continua-t-il, en m’envoyant une droite dans la figure, mais je ne me laissai pas intimider par ce tortionnaire.
Je fonçai sur lui et d’une jambe alerte semblant voler dans les airs, je le mis à terre sans qu’il ne puisse riposter. J’allai vers lui pour voir si ça allait, lui tendis la main pour l’aider à se relever mais il me tira sur lui pour lutter comme de vrais lutteurs, ce qui me plus encore plus, tu me connais, Paul. Je réussis à lui coincer la tête entre mes cuisses jusqu’à ce qu’il ne puisse plus bouger et tape frénétiquement de la paume de sa main le tapis pour me faire lâcher ma prise.
Nous nous relevâmes, le regard plein de défi.
— Alors, toujours ramollo le Daddy, champion ? claironnai-je, en le défiant.
Il voulut dire quelque chose, leva la main comme s’il voulait me frapper mais il me tira contre lui pour m’enlacer.
— Je t’aime, Romain.
— Oui, c’est ça. Hey, n’oublie que ton mari nous regarde juste là ! lui fis-je remarquer, en montrant Phoenyx du regard.
Chumpon lui lança un baiser en lui souriant.
— Toi aussi je t’aime, mon chéri ! le rassura-t-il, en souriant.
— T’as intérêt, espèce de casseur de vioque ! Et quand vous aurez fini de vous mesurez la queue, on pourra aller manger, je crève la dalle.
C’était du Phoenyx tout craché. Nous savons toujours où nous en sommes avec lui. Direct et droit au but. Tout ce que j’aime en vérité. Chumpon l’est moins que lui, même s’il est franc. Il prend plus de pincettes et se veut bien mieux éduquer que ce sauvageon utilisant un jargon australien dont on ne comprend pas toujours la subtilité et pour autant qu’il puisse y en avoir.
Nous passâmes sous la douche et nous habillâmes en vitesse pour rejoindre Phoenyx, attendant sagement devant la maison de Chumpon, dans la ruelle.
Nous nous installâmes sur une terrasse et commandâmes un festin. Je mourrais de faim aussi. Et j’avoue que la nourriture pakistanaise, même si ce n’était pas mauvais, n’a rien à voir avec la cuisine Thaïe qui est exquise à mon goût.
Sans aucune distinction des plats posés sur la table, je me ruai dessus comme si je n’avais plus mangé depuis des jours. Mes deux amis me regardèrent, presque effrayés.
— Eh bien dis-moi, tu as dû te nourrir d’amour et d’eau fraîche là-bas ! souligna Chumpon, en souriant.
Phoenyx, lui, lança un regard complice et attaqua ce festin en me suivant de très près, question gloutonnerie.
En milieu de repas, lorsque nos estomacs furent à moitié remplis, Chumpon vint sur mon escapade pour avoir un peu plus de détails :
— T’as l’air content, Romain, j’en déduis que ça ne s’est pas si mal passé…
— Oui, en effet. Ce fut riche en émotion. J’ai été surpris bien plus d’une fois.
— Vous… vous avez pu faire l’amour ?
— Chumpon ! le sermonnai-je, en dodelinant la tête de gauche à droite. Il n’y a pas que le cul, voyons ! Et on est en train de manger… m’offusquai-je en dodelinant la tête, avant de laisser apparaître sur mon visage un sourire facétieux.
— Je demandais ça… je demandais rien ! se défendit-il, en avalant une crevette pleine de piment.
— Mais oui, on l’a fait ! jubilai-je, en trépignant sur ma chaise.
— Et ? questionna-t-il, voulant plus de détails.
— Et quoi ?
— C’était comment ? Est-ce que c’était différent que lorsque vous le faites en Australie ?
— Mais… j’en sais rien, moi ! Quelle drôle de question ! fis-je remarquer, en pouffant en même temps que son mari.
Le coach nous regarda, agacé. Il mangea trois autres crevettes sans nous demander si nous en voulions encore. Il faillit s’étouffer tant il les avala vite.
Phoenyx le fixa un instant sans pouvoir s’empêcher de se moquer de lui :
— Qu’est-ce que c’est que cette fixette que tu fais sur Romain ? lui demanda-t-il, tandis que je profitais de voler la dernière crevette.
— Quelle fixette ?
— Tu le sais bien. On dirait que tu es obsédé par ses ébats.
— Pas du tout ! se défendit-il, en s’essuyant nerveusement la bouche avec une serviette en papier. C’est n’importe quoi !
— Je te jure que tu fais une fixette, mon chéri ! insista le biologiste en herbe, encore plus beau que la première fois que je l’ai vu.
— Mais qu’est-ce que tu racontes avec ta fixette ? Tu m’emmerdes ! Bouffe ton bœuf aux poivrons au lieu de déconner ! lui ordonna-t-il, en cherchant la serveuse pour commander une autre bière.
Phoenyx me lança un regard complice et mangea une cuillérée de ce met délicieux effleurant nos narines, tout en observant son mari.
— Quoi ? hurla Chumpon, en écartant les bras. Je ne fais pas une fixette, voyons !
Nous le regardâmes perdre gentiment ses moyens et son calme, c’est si rare pour un asiatique, avant de partir dans un fou rire qu’il ne put faire autrement que de suivre.
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LAISSEZ-VOUS SÉDUIRE PAR CE ROMAN TOUT EN ÉMOTION. UNE HISTOIRE DE COUPLE QUI VA DEVENIR UNE HISTOIRE DE FAMILLE, UNE HISTOIRE D’UN ONCLE ET D’UN NEVEU… D’UN ONCLE ET DE SON COMPAGNON… UNE MAGNIFIQUE ROMANCE MM ENTRE DEUX HOMMES DIFFICILEMENT COMPATIBLES ET NOURRISSANT CHACUN UN LOURD SECRET…
VOUS ALLEZ RIRE, PLEURER, ÊTRE AGACÉ/ÉE, RAGER ET AIMER TOUT EN VOUS LAISSANT SÉDUIRE PAR LES DÉCORS GRANDIOSES D’UNE AMÉRIQUE TOUCHANTE ET NATURELLE…
RETROUVEZ WILL ET ETHAN DANS CETTE HISTOIRE DÉCAPANTE ET PLEINE DE REBONDISSEMENTS… UN VOYAGE INITIATIQUE POUR DENIS, UN ROAD TRIP INCROYABLE POUR SON ONCLE, COMPLÉTEMENT CHAMBOULÉE PAR L’AVENUE DE SON NEVEU.
Résumé :
Will vit à Sausalito, dans la baie de San Francisco. Lorsqu’il accepte de prendre sous son aile son neveu venu de France et récemment orphelin, c’est tout un pan de son passé qui lui explose en pleine figure. Routier à ses heures, il va emmener Denis dans son truck et lui faire découvrir du pays, malgré son couple battant de l’aile, Ethan, son compagnon et artiste peintre, étant fatigué de ces va-et-vient perpétuels n’amenant à rien. Lui rêve d’une relation plus stable, même s’il sait qu’il n’est pas un cadeau. De ruptures en promesses sur l’oreiller, la confiance s’effrite entre les deux hommes. Ayant de la peine à assumer ce qu’il éprouve pour Ethy, Will se dérobe à chaque fois qu’un semblant de tendresse les unit, aggravant toujours un peu plus la situation. L’arrivée de ce gamin dans leur vie, si cela va générer d’autres conflits, va peut-être leur permettre d’appréhender leur histoire sous un autre angle. Denis va s’avérer malgré lui être le décodeur leur permettant de communiquer autrement qu’en s’engueulant et d’envisager un avenir commun. D’affronter chacun de leur côté leurs démons, pour pouvoir avancer et se tourner vers l’avenir, à deux.
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EXTRAITS :
« En un coup de fil, il est redevenu le petit garçon qu’il était, révolté et rageur, les yeux mouillés et espérant qu’un problème technique ramènerait sa maman. Qu’elle se battrait plus pour le récupérer et en avoir la garde de l’autre côté de l’Atlantique. Il serre le poing, sent ses mâchoires se crisper. Son pied bat toujours plus vite la mesure et tout ce qu’il entend, aussi dramatique soit-il, le laisse de marbre et sans la moindre émotion. »
* * *

« Un silence envahit la cabine, Denis étend ses petites jambes pour se mettre à l’aise sans voir que son oncle l’observe. Ce dernier réfléchit un instant puis se lance :
— Tu sais ce que ça veut dire le mot amoureux, Denis ?
— Oui, comme papa et maman.
— Oui, bon d’accord, mais là c’est… enfin, on est deux garçons, tu comprends ?
— J’vois pas la différence, tu sais. Vous vous engueulez pareil, Ethy et toi ! termine-t-il, sous le regard bienveillant et soulagé de son oncle, ne pouvant exprimer toute la reconnaissance qu’il éprouve pour ce petit bonhomme.
C’est comme s’il venait de faire son coming out à la personne la plus importante de son existence. Il se sent soudain si léger, qu’il serait prêt à pardonner l’incartade de son compagnon et bien plus encore. Il se sent fondre comme de la guimauve, retient les larmes tentant de le submerger avant de se reprendre de justesse :
— Oui, bon ! Mieux vaut-il que tu saches le plus vite possible de quoi il en retourne, mon gars ! finit-il, ouvrant une bouteille de limonade et buvant une gorgée. »
Et toujours cette histoire qui n’est pas de la guimauve mais bien une histoire qui se passe au Réveillon… apprenez à mieux connaître Sam et Dany dans ce roman bouleversant qui vous fera rire mais aussi pleurer… si si…

Résumé :
Vous souvenez-vous de votre amour de jeunesse ? Était-il si innocent que ce que prétendent les adultes ? Ou au contraire, saviez-vous que c’était l’amour de votre vie ?
Sam est de retour sur son île pour les Fêtes de fin d’année après plus de vingt ans d’absence. Lorsqu’il croise sa complice d’enfance devant la poste de Noirmoutier, cette dernière l’invite au repas de Noël chez ses parents qu’il connaît bien. Hésitant d’abord, craignant les reproches, Sam rejoint cette famille qu’il aima tant. Les deux frères de Nadine étant également présents, le réveillon va très vite devenir hors de contrôle. Déclenchant un vrai tsunami pour Sam et Dany, le plus jeune frère, étant rattrapés par les souvenirs de leur adolescence et les promesses qu’ils s’étaient faites secrètement. Chamboulés par cette vague d’émotions, ils vont réaliser que les sentiments qu’ils éprouvaient l’un pour l’autre n’ont pas changé. Un constat gênant capable de faire tout imploser.
Venu régler ses comptes avec ses démons du passé en la personne de son père, Sam va devoir impliquer Dany malgré lui, dévoilant ainsi la terrible vérité sur son départ brutal vingt-trois ans auparavant, et les conséquences de ce baiser passionné échangé dans un hangar. Un baiser ayant stoppé en plein vol la seule histoire d’amour jamais espérée.