
Petit poème du matin à mon Loulou d’amour
Lorsque mon Loulou me dit que je suis un extra-terrestre, je le crois.
Lorsqu’il me dit que je suis dingue, je le crois.
Lorsqu’il affirme que je suis maladroit, je le crois.
Lorsqu’il confirme que je ne suis pas assez diplomate, je le crois.
Lorsqu’il me dit que je suis le plus beau du monde, je ne le crois pas !
Lorsqu’il me dit que j’ai énormément de talent, je ne le crois pas !
Lorsqu’il m’assure que je suis quelqu’un de bien, je doute !
Lorsqu’il me dit que je suis drôle, je réponds que c’est malgré moi !
Lorsqu’il me dit que je fais bien l’amour, je réponds que c’est lui qui m’inspire !
Lorsqu’il me dit qu’il se sent en sécurité dans mes bras, je répond que c’est grâce à lui que je suis devenu si protecteur !
Lorsqu’il me dit être fier de mon parcours, j’affirme qu’il en est pour beaucoup le concepteur !
Lorsqu’il me dit l’émouvoir lorsqu’il me regarde dans les yeux, je répond que c’est dans son regard que je me sens le plus vulnérable…
Et lorsqu’il me dit d’arrêter avec mon syndrome de l’imposteur !
Je réponds que si je suis piqué d’un quelconque syndrome, c’est celui de l’aimer !
Je t’aime mon bébé ! Je t’aime tellement…
Mais encore…

« Si te regarder et te faire l’amour est un cadeau de tous les instants, éprouver ce que tu ressens va bien au-delà de nos étreintes et nos baisers… Il y a tous ces moments donnant l’impression que tu vas basculer, tous ces silences qui font que je t’aime et t’apprécie encore plus, qui me font te voir au-delà de ton physique. Parce que tu ne t’es jamais pris au sérieux et a toujours plus aimé l’homme de ta vie que toi-même, je te dis MERCI. Merci d’être qui tu es et tout ce que tu sais m’apporter par ta simplicité… »

« Lorsque tu as posé ton regard sur moi la première fois, je ne l’ai jamais oublié et n’ai jamais pu m’en départir, tant il est intense. Comme une maladie, j’ai dû le suivre, j’ai dû te suivre et je ne le regrette pas.
À deux, on est plus forts et le monde n’en est que plus intense…L’amour que je ressens est si fort, que nous ne pouvons qu’être devenus des superhéros. Mon superhéros… »

« Ton torse fleuri est le jardin de mes rêves les plus audacieux et les fantasmes les plus reculés… il m’apaise lorsque j’y plonge mon museau et m’enivre de ton parfum. Sa douceur et sa chaleur sont un bienfait me rendant heureux. L’envie de me perdre dans ce jardin des délices m’incite à y revenir et revenir encore en espérant ne jamais retrouver mon chemin et combler de baisers ce bastion de toutes les convoitises… »
Surveillez les publications d’Écueil Éditions c’est pour bientôt et il y aura d’autres surprises…

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Bonjour,
Vos textes sont toujours magnifiques mais ces poèmes sont dignes des plus grand !!!
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Merci mille fois pour ce magnifique compliment… ça fait chaud au cœur… Amitié… Tom
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