Bien sûr, pour qu’un zizi lève comme il faut et devienne dur, mieux vaut-il qu’il soit motivé pour ça, excepté le matin bien sûr et durant nos phases de sommeil ou les rêves érotiques peuvent nous promettre le nirvana du sexe.
Une jolie gueule, une portion de ces corps déambulant sous nos yeux comme des fesses bien rebondies ou des biceps musclés comme on les imagine ; un avant-bras juste poilu comme il faut, des mains magnifiques, un regard qui en dit long et nous envoûte, une bouche parfaitement dessinée, une voix suave qui nous ensorcelle et tant d’autres détails infimes, qui comme dans un flipper, peuvent faire exploser le compteur et allumer toutes les ampoules de cette mécanique pour faire gagner ce zizi qui jubile déjà ; qui va se déployer de toute sa longueur et se raffermir en quelques secondes. Mais il peut arriver que d’étranges sensations nous envahissent sans qu’on ne comprenne vraiment d’où elles viennent, ni pourquoi elles nous font pareil effet. Sans qu’on les y ait invités, elles nous feront bander sans raison apparente si ce n’est de nous sentir vivants.
Dites-vous qu’un effleurement, un titillement, une caresse, un souffle, un baiser sont tous des éléments aptes à faire lever fièrement notre poireau et ce, en quelques mouvements. C’est mécanique. Et oui, on ne le redira jamais assez…. Mais ça veut dire quoi exactement ces conneries ?
Ça veut surtout dire, qu’un chatouillis, même le moindre chatouillement pourra engendrer un magnifique tromblon dans le pantalon et rendre bien étroite la plus spacieuse des culottes ou le plus ample des caleçons. Si, si !
En d’autres termes, un homme peut s’exciter par simple frottement (voir le chapitre «Sexe sans modération pour les angoissés ») ou en étant simplement tripoté et branlé. Le malaxage, massage ou appelez cela comme vous le voudrez peut rendre prêt à l’emploi de l’amour notre zizi sans pour autant que l’on éprouve le moindre sentiment à l’égard du corps nous faisant face, à moins qu’il ne soit dans notre dos, mais cela n’a jamais guère troublé qu’un minimum de garçons, surtout lorsqu’ils trempent dans la testostérone et dégoulinent d’hormones toutes bien décidées à en découdre avec la jouissance et les sensations dont elle sait nous gratifier.

Comment çà, pas besoin d’être amoureux pour bander ?
Eh bien…. Et après un millième de secondes de réflexion, je puis affirmer que non ! Pas besoin d’être fleur bleue pour être dur. La nature, que voulez- vous….